Prostitution – Le phénomène étudiante occasionnelle

Le phénomène étudiante occasionnelle n’est pas une complète nouveauté dans le monde de la prostitution mais la crise lui a donné une nouvelle ampleur. En se prostituant pour payer leur loyer, leurs études ou des dépenses plus frivoles, des étudiantes deviennent ce qu’on appelle des étudiantes occasionnelles.

La prostitution étudiante occasionnelle favorisée par la crise

Alors que la prostitution étudiante occasionnelle a longtemps été un phénomène marginal utilisée par quelques « entrepreneuse » pour booster leur pouvoir d’achat, elle est devenue encore plus malsaine depuis une petite dizaine d’année. Alors qu’elle était surtout le fait d’étudiantes décidant d’utiliser leurs charmes pour gagner de l’argent, la prostitution étudiante occasionnelle s’est imposée aux étudiantes d’aujourd’hui sans même qu’elles aient la possibilité de la désirer. Premier vecteur de prostitution

étudiante occasionnelle, le logement. Devenu inabordable dans les grandes villes, le logement est maintenant un moyen d’obtenir des faveurs sexuelles pour des propriétaires vicieux sans vergogne. En echange d’un loyer modique voire inexistant, ils exigent de leurs locataires de pouvoir coucher avec elle plusieurs fois par mois. Ce système est souvent la porte d’entrée vers la prostitution pour de nombreuses étudiantes. Une fois qu’une étudiante a accepté d’échanger son corps contre de l’argent, elle franchit bien plus facilement les limites qu’elles s’étaient fixées jusque là et peut aller jusqu’à démarcher de nouveaux clients sur des sites d’escort girl. L’argent facile et le tabou tombé définitivement rendent difficiles le retour à la vie réelle. « Ce n’est pas plus humiliant que bosser chez McDo » se répéteront-elles à l’envie comme pour se justifier… Accepter de revenir à des boulots difficiles, plus prenants niveau horaire et beaucoup moins payés leur prendra beaucoup de temps, surtout dans une période où le chômage des jeunes est très fort.

La prostitution étudiante occasionnelle : chez les hommes aussi

Il est facile de croire que la prostitution étudiante occasionnelle est l’apanage des filles. Pourtant, de nombreux étudiants se prostituent pour financer leurs études. On trouve cette prostitution étudiante masculine essentiellement dans les milieux homosexuels mais également chez quelques jeunes hommes attrayants physiquement qui arrivent à faire les escort girls pour des cougars fortunées. La difficulté pour ces hommes prostitués c’est qu’ils sont considérés comme consentants alors qu’ils vendent leur corps comme le fait n’importe quelle escort. La souffrance physique et psychologique laisse souvent des traces que leur entourage peine à comprendre. En proportion, ces hommes étudiants prostitués sont toutefois beaucoup moins nombreux que les étudiantes occasionnelles mais le phénomène est en pleine croissance.

Prostitution étudiante : Les risques physiques

Quand on pense prostitution occasionnelle, on pense d’abord aux risques physiques. Fréquenter des hommes excités et inconnus fait courir de gros risques physiques aux étudiantes qui vendent leur corps. Dans l’intimité d’une chambre, les clients peuvent devenir violents sans que personne ne puisse défendre la prostituée.

L’autre risque physique lié à la prostitution étudiante occasionnelle est le risque de MST. Si la plupart des étudiantes occasionnelles imposent le port du préservatif, certaines acceptent de coucher sans protection en échange d’une majoration de leurs tarifs. Elles peuvent alors payer très cher leur appât du gain. SIDA bien sûr mais également hépatites ou syphilis s’attrappent très facilement lorsqu’on multiplie les partenaires sans se protéger.

Mais les risques liés à la prostitution étudiante occasionnelle sont également psychologiques.

Les risques psychologiques de la prostitution étudiante occasionnelle

Quand une étudiante se prostitue, même de façon occasionnelle, elle renonce à toutes ses illusions sans forcément s’en rendre compte. Alors qu’elle étudie pour accéder à un métier qui lui permettra de bien gagner sa vie et d’avoir un niveau de vie correct, elle va se rendre compte qu’elle peut gagner beaucoup plus d’argent qu’elle n’en gagnera jamais avec un métier classique en passant quelques heures avec des inconnus. Avec des passes à 150€, une étudiante gagnera un SMIC en 7h et atteindra le niveau de vie des 10% des français les plus riches en 20h. Bien sûr, ces revenus ne sont pas imposés et peuvent donc être entièrement dépensés. Quand on réfléchit à tout ça on se rend compte qu’il est facile de tirer un trait sur ses tabous et donc sur ses illusions de jeunes filles. A l’inverse, passer 10h par jour dans un bureau pour gagner moins qu’en vendant quelques heures de leur corps sera insupportable pour ces étudiantes devenues adultes et elles n’arriveront que très rarement à renoncer à la prostitution. Psychologiquement, se remettre de la prostitution étudiante est une épreuve souvent insurmontable.

Peut-on devenir client d’une étudiante prostituée occasionnelle ?

Nous n’aimons pas jouer les père la morale mais abuser de la faiblesse financière de jeunes filles essayant de se construire en tant qu’adulte est vraiment quelque chose qu’on ne peut pas concevoir. Si vous souhaitez coucher avec des jeunes filles libérées sexuellement vous en trouverez plein sur des sites tels que www.Xflirt.com ou www.RencontresHard.com. Vous n’aurez rien à y payer et vous coucherez avec des filles consentantes que ne sortiront pas détruites de l’expérience. Nous ne pouvons donc que vous encourager à coucher avec des filles faciles et gratuites plutôt que de profiter de la prostitution étudiante occasionnelle dont les dégâts à long terme sont très importants.